le temps qui passe
c’est 1 poeme orphique dans lequel le poete pleure la perte de la femme aimee et regrette moyen ou il est a ses cotes. Notre poeme va opposer l’ephemere et l’eternel, le temps organique et le temps mineral. Des la premiere strophe apparait cette opposition : « nuit eternelle », Le temps reste donne par la metaphore « l’ocean des ages » et l’adjectif « eternelle », ainsi que l’adverbe hyperbolique « toujours ». Ca s’oppose au temps libre ephemere « un seul jour » (S 1). L’antithese « toujours » et « un seul jour » vient ouvrir et clore la strophe .
Cette toute premiere strophe met en place le temps qui passe trop vite pour l’homme et qu’il voudrait retenir ainsi que l’eternite en nature. Il utilise, pour « marquer » moyen, nos indices temporels « naturels », le champ lexical du temps, nos temps verbaux, ainsi, des adverbes ou adjectifs de temps.
— Mes indices « naturels » temporels : « l’annee » (strophe 2) « votre apri?m » (strophe 4), « des heures », « les gens les temps » (S 7), « Notre nuit », « l’Aurore » (strophe sept). On remarque des moment longs tels que «l’annee » et des temps courts tels que « l’Aurore » ou « l’heure ». Ce paraissent des marqueurs du cycle du temps.
— Le champ Lexical un moment : bien d’abord avec l’evocation aussi un moment lui meme ; la jeune femme s’adresse au temps avec le vocatif « O temps », c’est donc allegorise, d’une meme maniere elle s’adresse aussi aux heures « et vous heures propices ». Moyen est evoque a travers deux metaphores premierement la metaphore de l’eau qui revient dans le discours de Julie « coulez, coulez Afin de eux » et la metaphore de l’oiseau avec l’evocation du vol « suspend ton vol ». la metaphore de l’eau reste utilisee des la strophe 1 avec le poete : « l’ocean des ages » , « nouveaux rivages », «jeter l’ancre ».
— les adverbes et adjectifs temporels : qui vont la i nouveau montrer des moment courts ou longs, rapides ou lents : « forcement », « jamais », « eternelle»(S1), « a peine »(S2), « tout a coup »(S5), « rapides »(S6), « fugitive »(S9), « vitesse »(S10) i€ noter que les termes qui montre la rapidite du temps sont associes a l’epoque ou les amoureux etaient ensembles.
Mes temps verbaux : le temps apparait aussi dans l’utilisation des temps ainsi que leur valeur.
On voit tout d’abord un present d’enonciation celui qui correspond au present du poete « je viens » (S 2) et celui que l’on retrouve dans la parole rapportee au style direct de Anna « je demande », « je dis » (S 8), mais aussi un present de verite generale Afin de imager la fuite du temps « l’homme n’a point de port , le temps n’a point de rive »(S1). On retrouve aussi un futur mais qui evoque a chaque fois une fatalite douloureuse. « Ne pourrons-nous jamais « (S1); « ne nous nos rendra plus »(S11). Il utilise aussi des temps du passe principalement l’imparfait Afin de decrire moyen ou il est avec Julie Charles «on entendait au loin »(S4) mais aussi et ce qui reste plus surprenant, le passe compose dans le dernier vers du poeme « ils ont aime » qui semblent montrer que l’amour reste termine. On remarque que les verbes qui parlent un moment paraissent tous des verbes de mouvement qui traduisent ainsi l’impossibilite d’arreter moyen : « emportes » (S 1), « coulez » (S 7), « m’echappe et fuit » (S 8), « nous passons » « s’envolent » (S 10).
J’ai nature chez des romantiques a une importance capitale . Elle reste a J’ai fois le refuge, la confidente, le miroir des emotions du poete. Par exemple dans votre poeme Lamartine se refugie dans une telle nature qui avait accueilli ses amours et qui dorenavant l’accueille avec ses souvenirs
— En plus la nature devient le refuge du poete « s’asseoir concernant une telle pierre » Cela reste vraiment totalement entoure accueilli par la nature « les flots » (strophe 2), « nos roches » (strophe 3). Mais aussi « coteaux », « sapin » (strophe 14) et donc une description en nature qui l’entoure et cette nature apparait a travers les differents sens du poete : la vue donnee par des differentes descriptions et les couleurs telles que « front d’argent qui blanchit a surface » (strophe 15), l’odorat « parfum leger » (strophe 16) le toucher « l’ecume de tes ondes sur ses pieds adores » (strophe 3) ou enfin l’ouie « les trucs de tes bords partaient bords repetes » (strophe 15)
— . Des la strophe 2 le poete personnifie le lac avec le vocatif « O lac ». J’ai personnification sert au poete Afin de se confier il s’adresse ainsi a la nature comme a une amie ainsi « regarde » (strophe 2), « t’en souvient-il » (strophe 4). I€ noter que le poete tutoie la nature, il partage avec cette dernii?re ses souvenirs « tu la vis asseoir ». On va pouvoir se rendre compte que non seulement il partage ses souvenirs avec la nature mais il lui demande outre devenir la gardienne des souvenirs ! la nature devra garder l’empreinte de leur amour. « Gardez, belle nature, au moins le souvenir ! »